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collages

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J'me fous De ce que l'on dira Le qu'en-dira-t-on Les piques ,les trèfles Ou bien carreau Le manque de coeur La guerre des chefs

Mythe décisif Pierre qui roule N'amasse pas mousse J'avais pourtant le pied marin Quand je me suis enfui Avec Toi Aux frontières de nos peurs Pour un petit tour Pour un bout de chemin Et puis.......

Temps suspendu Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris...

. Tous ceux qui parlent des merveilles Leurs fables cachent des sanglots Et les couleurs de leur oreille Toujours à des plaintes pareilles Donnent leurs larmes pour de l'eau Le peintre assis devant sa toile A-t-il jamais peint ce qu'il voit Ce qu'il voit...

J'étais si près de toi que j'ai froid près des autres Paul Eluard

Et des fois et des fois Il faudrait que les bouches s'arrêtent de parler Le temps de s'écouter Visitez le travail de Lepolsk Matuszewski ,un artiste hors du commun en cliquant ici

Faut gagner Faut pas perdre Au jeu de la bêtise Gigantesque sablier Qui distille le temps Le désert A tout son temps Pour digérer les hommes

Dis-moi Dis-moi pourquoi Pourquoi t'as la tête sur les épaules Et puis des mains Au bout des bras Et puis des doigts Au bout des mains Et puis des ongles Au bout des doigts Et puis plus rien Au bout des ongles Hein ! pourquoi Dis-moi pourquoi p.k

Rôdeuse au front de verre Rôdeuse au front de verre, Son coeur s'inscrit dans une étoile noire. Ses yeux montrent sa tête, Ses yeux ont la fraîcheur de l'été, La chaleur de l'hiver. Ses yeux s'ajourent, rient très fort. Ses yeux joueurs gagnent leur part...

Il y a quoi d'autre à voir ? J'aime les nuits Sahara Ondulantes de dunes Où l'oasis blanc Perdu au creux des sables Est un lac d'argent Evidé par le temps J'aime le soleil qui se lève Hésitant à renaître Avide de nuit noire Enveloppe magique De peurs...

J'ai trouvé un beau jour Dans un pli de ta peau Un mot de passe sans retour Un cahier d'écolier ,un hélico Des pièces de Monnet Un tableau de Picasso Depuis je taggue tes grands yeux Sur ton corps immobile J'invente mille jeux Sur les murs de ta ville...

Des toges me toisent Des érudits m'abreuvent de leurs fioles À quoi c’est dû cette assiduité À sillonner sans répit ma macédoine À quoi c’est dû Au pavillon des lauriers Il est tard pour se demander À quoi c'est dû ces lauriers À quoi c’est dû ces chaluts...

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